Disponible sur :
https://open.spotify.com/artist/42zAEK2O5TWoxvtqtJbWkZ
https://www.deezer.com/fr/artist/81875262
https://music.apple.com/us/artist/brindille/1493173736
https://music.amazon.fr/artists/B08362VX6T?tab=CATALOG
et sur toutes les autres plateformes !
CONCERT mardi 4 février 2020 au CABARET DES ARTISTES
3, cité Souzy - 75011 Paris
Bus : 56 (Boulets-Montreuil) - Métro : Rue des Boulets (ligne 9)
Réservations et renseignements : BilletRéduc et sites habituels
Service bar et restauration sur place dès 20 h - Concert à 21 h
Pour réserver en ligne, cliquer ci-dessous :
FACEBOOK - DISCOGRAPHIE - WEBSITE BRINDILLE
Ils sont rares, aujourd’hui, les chanteurs authentiques, les héritiers de la chanson réaliste. Celles et ceux eux qui hantent les cabarets jusqu'au bout de la nuit, subjuguant un public conquis, sans besoin d’artifice : rien qu'une voix, une présence. Brindille est de ceux-là.
Elle ou lui ?
Vous vous interrogez sûrement : « Mais qui est donc cette Brindille ? On ne la voit presque jamais à la télévision, on ne l'entend pas à la radio... »
Mais d’ailleurs, pourquoi parlez-vous de Brindille au féminin ? Par simple méconnaissance de l’artiste. Parce que les medias d'aujourd'hui ne jurent plus que par "télé réalité" (toute cette soupe qu'on nous impose reflète-t-elle la réalité ? Ce serait trop triste !) et petits pousseurs de chansonnettes, sans voix, sans charisme, préfabriqués et formatés, aux titres multimixés pour donner une impression de qualité, toute relative elle aussi.
On ne s'intéresse plus aux vrais artistes comme Brindille qui, en dépit de ce que laisse supposer son nom de scène, est un garçon.
Un garçon, mais aussi un être étrange, énigmatique et qui cultive le mystère. Tout de noir vêtu, d'un noir aussi profond que celui de ses longs cheveux laissés tantôt libres tantôt retenus par un catogan, un trait de khôl pour souligner son regard expressif, un visage presque angélique et des jambes immenses supportant ce corps éternellement gracile, qu'aucune calorie ne semble pouvoir corrompre : "l'autre longue dame brune" est un qualificatif qui lui irait presque comme un gant (ou plutôt comme une de ces mitaines qu'il porte souvent sur scène)… s'il n'y avait la voix. Cette voix qui trahit son physique androgyne, comme pour mieux encore créer la surprise lorsqu'il émet sa première note dès son entrée dans la lumière. Une voix rauque, un brin tabagique : la seule notion de blondeur qui émane de cet ensemble sombre vient de ces "américaines" qu'il savoure du bout de son fume-cigarette mais dont les volutes l'entourent aussitôt d'un halo de grisaille. Pour autant, au-delà de l’apparence visuelle, Brindille est au contraire un être auréolé de lumière. Il distille le bonheur par petites touches, crescendo, parce que ce qu'il a à offrir, son public doit le mériter, être attentif, à l'écoute, pleinement conscient de sa chance d'être là, au nombre des spectateurs. Brindille aime être désiré, ne s'offre pas sans qu'on soit entièrement sous son charme, en totale communion avec son personnage.
Alors l’alchimie produit son effet, la magie s'installe. Brindille, tout en noir devient éblouissant, lumineux et sa voix grave nous transperce, nous transcende, nous transporte, d'interminables frissons nous parcourent l’échine. C'est Marlène qu'on ressuscite. Brindille n'est pas seul en scène, l’artiste est habité, c'est une évidence qui s'impose.
Et jusqu'au bout de la nuit, pour un auditoire définitivement captivé et captif, il va chanter l’amour, la vie, la mort, la tristesse, le spleen. La chanson réaliste retrouve ses lettres de noblesses. Et tant pis s’il ne passe pas à la tété, tant pis si les radios le boudent. Ou tant mieux. Un artiste vrai, authentique tel que Brindille, il faut le mériter !
Julien Weber (Chercheurs d'Art - Le webzine de l'agence HL Media)
Dimanche 2 décembre 2018 à partir de 23h à L’Insolite Club : Les Noces Blanches.
Soirée Cabaret organisée par Philippe et son équipe au profit du Sidaction pour faire la fête pour une bonne cause.
Brindille et de nombreux artistes, chanteurs, transformistes, humoristes et chansonniers viennent se produire bénévolement pour vous offrir un spectacle de qualité.
Entrée : 10€ avec une consommation.
L'intégralité des recettes sera reversée au Sidaction.
A vos agendas…
L'INSOLITE CLUB DISCOTHÈQUE
33, rue des Petits-Champs
75001 Paris
M° : Pyramides ou Bourse ou Quatre-Septembre
https://www.facebook.com/linsolite.discoclub/
http://www.brindille-chanteur.com
Actualité/Concert : Brindille revient sur scène avec ses incontournables : Les visiteuses du soir, Le chant des tribades, Jolie conne, jolie conne, Chanteur de cabaret, Donatien-Alphonse-François, Quelqu’un qui chante… et de nouvelles compositions : La maison qui pleure, Il était un enfant, Gourbi Palace, Mourir à la Havane, La mélodie du désamour, Bleu blanc rose, Le cafard à zéro, L’objet femme, T’es barré…
La gestuelle théâtrale, la silhouette frêle et longiligne, Brindille chante de sa voix rauque les textes qu’il écrit sur ses propres mélodies. Brindille est un chanteur réaliste-décadent. C’est un artiste, un vrai. Authentique.
Son univers envoûtant oscille entre la pop et le cabaret. Humour acide ou existentialisme désabusé… Brindille, ou encore La Brindille, Brindille de Paris, comme on le surnomme aussi, n’est pas formaté, policé ; il n’obéit à aucune règle, prend les sens interdits et il le fait savoir, il le chante, il en rit, il s’en moque. Il est underground et sulfureux.
Brindille s’habille de noir, se maquille comme les stars des années 30, fume beaucoup et boit de l’absinthe. C’est un personnage étrange, inquiétant peut-être, qui trouble et fascine. Anar de l’avenue Montaigne ou bourgeois de Ménilmontant ? Rétro, futuriste ou intemporel ? Lilas blanc ou belladone ? Poète naufragé ou fluide glacial ? Allez savoir… Mais surtout, allez ! Allez écouter, découvrir ou revoir absolument Brindille !
Commentaires